La malienne et belle Influenceuse Maïmouna Haïdara, Veuve du Colonel-Major, feu Issiaka Ouatara dit OUATAO, Star des réseaux sociaux, cette ravissante dame qui provoque des émeutes à son passage puisque ne laissant personne indifférent les femmes y compris, cette belle et charmante personne disions-nous, a été victime à Bamako d’usurpation d’identité par un brouteur. Fort heureusement, le Commissariat de police du 14ème Arrondissement était là !
Le brouteur en question, Enseignant de son état et répondant au nom de MOÏSE, utilisait le profil et l’identité de la charmante dame pour abuser des femmes. La technique était aussi simple qu’efficace. Moïse se faisait passer pour un jeune et riche Envoyé de la ravissante MAIMOUMA HAIDARA et fixe un rendez-vous galant avec la proie dans un hôtel de la capitale. Puisqu’elles sont nombreuses les femmes cherchant à entrer en contact avec la très séduisante MAIMOUMA HAIDARA, elles cèdent très vite à la tentation et répondent favorablement à l’appel de la sirène, aussi vrai que le présumé émissaire de MAÏ est jeune et riche, deux attributs qui ne laissent pas nos sœurs indifférentes.
Mais une fois ses désirs sexuels assoupis avec la promesse de 500.000 F CFA à la clef venant de la présumée MAÏ en personne, l’«Envoyé Spécial» s’éclipse discrètement sans crier garde ! Plusieurs grandes dames de la capitale ont, hélas fait les frais de leurs propres turpitudes et n’osent surtout pas en parler. Quoi ? Oseraient-elles avouer leur propre forfait ? Mais fort heureusement, le crime parfait n’existant pas…
Une des victimes décida quand même de porter plainte à la police. Il nous revient de bonnes sources, que les enquêteurs collaborèrent efficacement avec la victime et utilisèrent les mêmes procédés. Souvenez-vous : le brouteur utilisait des numéros de téléphone et adresses de réseaux sociaux. Il fut alors pris à son propre jeu ce mercredi 02 février 2022. Conduit au Commissariat il a été confronté à la vraie MAIMOUMA. En clair, la présumée Maï et l’Envoyé étaient la même personne. Les investigations continuent.
Pour cause de restriction de l’information du DG de la police (lettre circulaire numéro 0057/DGPN-BECI), nous n’avions pu poursuivre nos regroupements et vérifications au niveau de ce commissariat.
A suivre quand même
Bamananden
Source : Kojugu kelebaa