Guinée Conakry : Une source militaire au sein du camp a affirmé à l’AFP sous le couvert de l’anonymat que l’officier tué, en butte à des accusations de « népotisme, d’ethnocentrisme et surtout d’avoir bloqué des primes pour des soldats de retour de Kidal », avait été menacé à plusieurs reprises. Le colonel Condé était le commandant du bataillon de commandos du camp, où sont basés les Casques bleus guinéens déployés à Kidal, dans le nord-est du Mali. AFP