Santé publique : L’INSP tient la 2ème session de son Conseil d’administration

Le Prof Akory Ag IKNANE, Directeur Général de l’INPS – Photo baobabpresse –

Les travaux de la 2ème session ordinaire du conseil d’administration de l’Institut National de Santé Publique (INSP), se sont déroulés le vendredi 28 février 2020. L’évènement était placé sous la présidence de Sidy Diallo, chef de cabinet du ministre de la Santé et de l’hygiène publique, en présence de d’Ousmane Koita, président du CST/INSP et du Pr Akory AG Iknane, directeur général l’INSP.

Dans ses mots, Akory a rappelé que cette 2ème session du conseil d’administration de l’INSP se tient dans un contexte très marqué par l’orientation économique de la structure et la confiance renouvelée des partenaires.

Il a souligné que le développement et l’émergence de l’INSP sur l’échiquier national, sous régional et international, dépendait de la résolution de certaines dossiers brûlants parmi lesquels l’approvisionnement des laboratoires en réactifs produits chimiques.

L’apurement des arriérés et impayés de salaires des contractuels occupaient une place de choix, a-t-il reconnu. Il a salué son département de tutelle pour la résolution du problème d’approvisionnement en réactifs ; toute chose nécessaire à la relance très rapide des capacités de diagnostic de laboratoire et qui contribuera efficacement à la prise en charge efficace des besoins de santé de nos populations, a-t-il dit.

Aussi, Akori ajoute qu’en 2020, l’INSP ambitionne prioritairement de se doter suffisamment en réactifs, produits chimiques consommables de l’ensemble des services du département laboratoire et recherche biomédicale.

L’institut sollicite le retour des partenaires suite à la crise socio-sécuritaire de 2012 ; et enfin poursuivra la construction du laboratoire cytogénétique et toxicologie.

Au plan institutionnel, l’urgence porte sur l’élaboration du manuel de procédures administratives,  financières et comptables, et le projet d’établissement.

S’agissant du budget 2020 du l’institut, le prof Akori précise qu’il a été élaboré en tenant compte de l’environnement économique international et national d’une part ; des objectifs de la politique budgétaire actuelle du Pays, d’autre part.

La rationalisation dans l’utilisation de ressources allouées à l’INSP doit être de mise. Cela pour respecter des engagements sectoriels vis à vis des partenaires techniques et financiers.

YAH ZANFING DOUMBIA 

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