La chambre d’accusation de la cour d’Appel accorde la liberté à Amadou Haya SANOGO et une quinzaine d’autres personnes citées dans le même dossier.
C’était ce matin du mardi 28 janvier 2020 à Bamako. A sa sortie du tribunal, l’ancien putschiste, visiblement content de son sort, pose avec des gendarmes, tout sourire, avec un chapelet au cou. La prison change l’homme. Chapelet pour dire quoi ?
La Rédaction